Mesdames, Messieurs,
La lettre, qui vient d'être lue, se situe dans le cadre d'un conflit entre deux groupes ayant pour objet essentiel de déterminer lequel de ces deux groupes constitue l'ASBL
Contrairement aux membres réunis aujourd'hui, Me DEMEZ agit dans un esprit de lucre.
Selon lui, la tenue de la présente Assemblée constituerait une violation flagrante de l'arrêt rendu par la Cour d'Appel de Mons.
Force est de constater alors, que ses clients ont, par la tenue de leur Assemblée du 20 mars 2004, commis une violation flagrante au jugement rendu par le Tribunal de Première Instance de Mons le 16 avril 2003 dont ils avaient connaissance ( pour avoir fait opposition à ce jugement dès le 10 juillet 2003 )
Aussi, ses clients nous reprochent ce qu'ils ont fait ...
L'affaire n'est pas coulée en force de chose jugée.
Notre ASBL n'a pas été entendue par la Cour d'Appel de Mons.
Elle a fait opposition à l'arrêt rendu.
Enfin, la loi nous fait obligation de tenir une Assemblée annuelle.
La démarche de Me DEMEZ, par des intimidations, vise à nous faire commettre une faute.
Bernard LEDRU